Libérons l’Humanité de la peur en conspirant avec le souffle de la vie,
ancré dans l'intention du Bien.
25-04-16
Du premier au dernier souffle
Se donner au temps.
Oser ne pas savoir, et se mettre en route pourtant.
Oser être ignorant tout en offrant sa connaissance de l’instant.
Oser se libérer de nos gouvernances pour répondre au Souffle gouverneur et
. . . . V i v r e l a m e s u r e d e l a r e s p i r a t i o n . . . .
L’inspire nous conduit au cœur de l’essentiel – l’ I n c o n n u –
le temps de l’apnée haute éclaire ce qui est, élargit nos visions étroites,
et révèle en nos cœurs le sens de l’évolution,
le souffle dans l'expire nous métamorphose et transforme notre vision du quotidien,
dans l’apnée basse, il nous appartient d’être en adéquation avec l’essentiel touché, nous sommes une réponse, et sommes responsables de la servir, afin que s’illumine un chemin d’évolution possible éclairé de nos expériences, pour ceux qui suivent.
Pourquoi s’enfermer dans la peur du manque (que chacun saura détailler à l’œil de son quotidien) alors que les êtres de la Nature vivant librement sous ce ciel étoilé, nourris au jour le jour de l’essentiel, offrent par leur présence, au travers de leurs chants, leur couleurs, leur allégresses, leur lumière, leur parfum, la mise à nu de l’harmonie fondamentale d’être ensemble.
Nous ne créons pas notre quotidien nous en sommes une réponse.
Osons voir dans l’expression humaine l’aspect double, l’égoïsme bavard et apeuré, mais également le silence de l’Être créateur, ancré dans l’intention fondamentale du bien.
Ne soyons pas dupes du brouillard dans lequel l’égoïsme se meut, mais voyons avec clarté la Présence en arrière plan opérant en continue pour le Bien.
Quelle réponse est-il temps de devenir, afin qu’elle soit servie dans notre environnement proche comme éloigné, quelles que soient les conséquences apparemment désastreuses ou non qui en découleraient ?
Nous ne créons pas notre quotidien nous en sommes une réponse, et sommes créateurs au quotidien par les réponses que nous offrons.
Vivons le cœur à l’ouvrage de la vie, et servons le Bien commun.