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Pour demain

Les humains tiennent tant à leur existence, contrairement aux autres règnes de la nature, qu’ils sont prêts à sacrifier l’ensemble des vies terriennes, pour prolonger leur existence personnelle dans le monde d’en bas.

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Si les humains étaient éduqués à la réalité de la vie, à son souffle, si les humains se connaissaient tels qu’ils sont en vérité, âme consciente du plan planétaire, ils ne s’accrocheraient pas tant à la petitesse de leur forme d’existence terrestre.

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Vivant la continuité de conscience et s’inscrivant dans le flux de la vie même, ils accueilleraient alors ce qu’ils appellent mort avec joie et légèreté.

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Le combat cesserait d’être de celui de survivre afin de profiter le plus longtemps possible de l’éphémère, mais présents et engagés dans leur corps de chaire leur nécessité d’être répondrait alors de la volonté d’aimer.

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Alors ils apprendraient non plus à se manipuler entre eux, alors ils renonceraient au combat du qui a tort qui a raison et commenceraient massivement à s’entraider non seulement d’un point de vue physique, mais également d’un point de vue spirituel en apprenant à manipuler à dessein, l’énergie de leur différents corps de manifestation afin que les qualités d’amour de l’unité imprègnent progressivement avec sagesse et comesure les vies mineures présentes dans leur aura.

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Croître en liberté est un devoir et une responsabilité de bien commun qui exige de nous libérer nous-même de nos attachements afin de coopérer à la libération de l’Humanité des chaînes du matérialisme.

En vérité, la joie n’est pas dans la satisfaction des plaisirs, mais dans l’oubli de soi, ouvrant les portes de la coopération à l’essentiel commun, extérioriser notre fraternité en servant le plan d’évolution de conscience à l’œuvre.

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La mort est une illusion, la libération de la peur de la mort est un premier pas sur le chemin du service de la Liberté.

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L’ordre est liberté et s’exprime dans la beauté radiante de la sérénité.

Le sens du temps
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